J'enrageais de l'avoir loupée!

Mille mercis pour cette information.

je crains que le problème ne provienne d'une confusion entre le Fomafix qui est un fixateur liquide à diluer à 1+5 et le Fomafix P qui est un fixateur en poudre bicomposants dont il faut dissoudre d'abord la poudre du premier étui puis celle du 2ème étui dans 600 ml d'eau avant de compléter à concurrence de 750 ml pour les films ( 1 litre pour les papiers) sans diluer davantage. Le temps de fixage des films avec le Fomafix P est plutôt de 10 minutes.

Vous trouverez ici une notice en anglais.

Nota: le Fomafix P est un fixateur tannant.

Si la partie normalement non exposé du film (la zone autour des encoches) est également noire, c'est quelle a pris la lumière. Il y a donc de fortes chances pour que le film dans son ensemble soit fortement sur-exposé (donc sombre après développement).

Plusieurs causes possibles.

- Fuite de lumière dans l'appareil
- Exposition à la lumière durant le chargement sur la spire
- Fuite de lumière dans la cuve de développement

Je pense que votre problème vient de là e non de votre process de développemnt. A votre place je regarderai du côté de l'appareil.

[quote="mehdimoi a écrit :"
Pourtant, mes péllicules dévellopées restent très sombre. Il ne semble pourtant pas que je sois sous exposé. C'est comme si les liquides n'avaient pas agit et que les différentes couches n'avaient pas été traitées pendant le devellopement. Vous voyez ce que je veux dire ? [/quote]

Un négatif très dense( sombre) n'est pas sous -exposé, il est au contraire sur-exposé. Il peut par contre être insuffisamment développé. A quelle température avez vous développé ?

Bonjour,

Cette explication ne s'applique qu'aux appareils utilisant des piles au mercure qui utilisaient la tension de la pile comme référence dans le processus de calcul de l'exposition. Elle n'est d'ailleurs pas vraie pour tous ces appareils, les plus récents ayant intégré un circuit interne de régulation qui leur permet de s’accommoder des piles alcalines modernes. C'est à voir au cas par cas: ce qui s'applique à un Asahi Spotmatic (nécessite une tension constante de la pile à 1,35 v) ne s'applique pas à un Praktica des séries L et suivantes qui "avale" sans souci une 625 alcaline 1,5 v, par exemple.

Elle est par ailleurs partiellement erronée: les adaptateurs prévus pour faire ingurgiter aux appareils nécessitant le respect des caractéristiques d'une pile au mercure (maintien de la tension nominale sur l'essentiel de leur durée de vie et chute brutale en fin de vie) incluent une diode Zener qui permet non seulement de diminuer la tension (ces adaptateurs sont généralement utilisés pour adapter des piles 1,5 volts sur des appareils nécessitant 1,35 v en tension nominale stable) mais aussi de la stabiliser en sortie à la valeur requise malgré les variations de la pile en entrée.

Ce n'est en effet pas tant la valeur de tension nominale de la pile qui importe - compte tenu de la faible différence existant généralement dans les cas concernés, un étalonnage du circuit de mesure pourrait régler le problème - que la constance de celle -ci. Les 0,1 v qui semblent tant vous tourmenter n'auraient de toute façon aucune incidence palpable sur la "précision" - assez relative sur ce type de cellules - de la mesure.

En ce qui concerne votre M6 ttl, tout ceci n'est pas de mise. Il a été conçu à l'origine pour utiliser des piles au lithium ou à l'oxyde d'argent qui se trouvent encore très facilement dans le commerce et comprend un circuit interne de régulation. Choisissez donc votre pile dans la liste figurant dans le mode d'emploi sans vous inquiéter davantage.

Mouais...

L'excellente nouvelle, ce sera quand le plus X reviendra. Et le miracle si la Kodachrome (mâtin, quel film!) revient un jour.

L'Ekta avec sa colorimétrie bleuâtre, sa définition approximative et ses versions Tungstène anémiques pour la lumière artificielle... Bien des négatifs couleurs ont fait mieux depuis. Lomography by Kodak, en quelque sorte.

C'est Sollièspont* qui va être déçu...

* NDLR: le nom des protagonistes a été modifié...

Celui-ci devrait faire causer...

Techniquement, sur un appareil muni d'un EVF on ne peut pas couper totalement le live view, hors veille, sinon plus de visée ( et plus de photo non plus)...

On peut couper l'écran arrière ou le viseur et donc l'un des 2 vecteurs de visualisation du live view. Mais ce qui fait l'essentiel d'un système live view reste actif - hors veille toujours: fonctionnement en permanence du capteur, traitement en permanence de l'image (le live view produit une succession continue d'images jpeg) et visualisation sur les 2 ou l'un des deux media d'affichage. Couper l'un ou l'autre amène donc une économie d'énergie réelle mais somme toute marginale.

Bonjour,

merci pour ces fichiers !

Ou c'est un message subliminale pour pré-annoncer un M autofocus...

Cela dépend du révélateur et des conditions de stockage mais quelques mois tout au plus.

Pour les très courants ID 11 et D 76 (même formule) en dilution stock, le délai de conservation "officiel" est de 6 mois. C'est moins si le produit est au contact de l'air.

HC110, Ilfotec (D-dx, LC29 ou HC) sont nettement préférables pour des utilisations faibles et espacées. Dans ce cas, je préfère développer à bain perdu.

Les révélateurs liquides ilford (Ilfotec) sont disponibles en petits conditionnement.

HC110 pour moi aussi.

Ça existe déjà depuis la fin des années '90. Ca s'appelle Canon EOS 5v et EOS 3. Argentique, Reflex et japonais, calamitas!

Selon Benoit Gysembergh dans "60 (ans) Photographes Paris Match, Editions de L a Martinière, Paris, 2009, Isbn 978-2-7324-3982-2, p. 16 et 17:

1er rang de gauche à droite: lucien Nau, Jacques de Potier, Gérad Géry, Patrice Habans, René Vital, Jack Garofalo, Daniel Camus et Philippe Le Tellier.

2ème rang: Michel Descamps, Maurice Jarnoux, André Lefebvre, Walter Carone, Willy Rizzo, Izis, Hubert de Segonzac.

3ème rang: Georges Ménager, Claude Azoulay, Charles Courrière, François Gragnon, Pierre Vals, Roger Picherie, Jean Claude Sauer.

Photo Maurice Tabard, 1960