Et quid du firmware qui permettrait de réduire le prix du M9 !

Le rythme un peu paresseux d'arrivée des M9 chez les marchands, dont on pourrait penser qu'il va exciter d'autant plus l'appetit des clients, pourrait entraîner un revirement de la demande compte tenu de la situation particulière de la marque dans ce marché du numérique
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La difficulté avec laquelle on se procure aujourd'hui un M9 (j'ai rencontré l'autre jour chez Photo Suffren un client qui prenait possession d'un M9 pour lequel il s'était inscrit sur une liste d'attente en octobre dernier !!!) fait courir le risque qu'on perde un peu le feu sacré qui anime les leicaistes en entendant déjà parler des défauts des premiers boitiers livrés. Si d'ici quelques semaines on ne trouvait pas plus facilement un M9 sur le marché, on pourrait juger préférable de différer cet achat en attendant le M10 que les rumeurs ne manqueront pas d'annoncer bientôt.

Par contre, la haute résolution du numérique révèlant les petits flous de bougé sans pitié,

Ceci dit, je suis d'accord pour dire que globalement, leurs nouveaux firmwares sont des progrès. Le travail fait avec le M8 était remarquable.
Mais j'attends tjs un petit peu avant de l'installer des fois qu'un méchant bug serait passé à travers les mailles du filet.

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- Armement doux mais pas discret, mode C. Je n'ai pas l'usage du mode discret la plupart du temps par contre j'aime bien le déclencheur en mode "doux". Je trouve que je tiens mieux les basses vitesses. On perd la mémorisation mais je ne m'en sers jamais. Je préfère passer en semi-auto quand c'est nécessaire (vieille habitude).
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- La plupart du temps, je suis en AUTO-ISO entre 160 et 1250... Je passe parfois en ISO fixe quand le sujet s'y prête ou que je veux forcer un couple vitesse/diaph. Je peux aussi grimper au delà de 1250 si c'est nécessaire mais c'est rare.
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Le 1er à la voir apparaitre sur le site Leica gagne ma considération distinguée.
Le 1er à l'installer sur son boitier au risque de découvrir les problèmes gagne mon admiration éperdue et éventuellement ma compassion en partie feinte si ca crée plus de bugs que ca n'en règle

Il est amusant de voir comment certains "voient" le M9 idéal:

Etonnement de ma part : les DNG ouverts avec C.One 5.0.1 ont une dominante magenta surtout marquée dans les coins de la photo , ce qui n'existait pas avec les DNG du M8. Par contre avec LR 2,6 et ACR dernière mouture tout va bien . Serait

Alors on va vous demander un petit( là j'ai peur) pécule pour vous donner l'impression d'avoir un petit M9, z'allez voir, vous allez finalement avoir entre vos main ce que le firmware aurait dû être dés son début... Ça c'est du concept !!! Payer 3 fois la pillule...

Ce modèle économique est absolument honteux.

Peut-être un M7 Hermès chromé avec 35 lux idem...

A partir de quel numéro y a t'il un frein sur les MP.
J'ai un MP récent chromé et la molette est sans frein
Sur le MP noir, il y a ce frein
Est-il possible de le rajouter après ?
Merci pour vos réponses

Les tests de piqué de CI sont très étranges, ils placent le M9 au même niveau que les 12 Mpx du D3/D700 (qui possède de plus un filtre AA). C'est contradictoire avec tout ce qu'on a pu lire ici et là.

Leica n'était pas loin d'annoncer une révolution dans le monde de l'APN avec l'arrivée du M9. Je crois que l'impact de l'événement n'a pas dû dépasser les murs de la Leica fabrik de Solms !

Je trouve la conclusion de l'article de Chasseur d'image consacré au dernier M assez pertinent : "Leica doit faire sa révolution, casser et reconstruire le M, oublier les nostalgiques et penser un peu plus aux photographes (...) En 1924, l'appareil conçu par Oscar Barnack a changé la photographie, il serait heureux que pour le M10 le fantôme d'Oskar revienne secouer un peu Leica."

Je ne voulais pas exprimer par là ma déception vis à vis d'un nouveau boîtier M, mais ma déception vis à vis de l'attitude de leica depuis le 9/9/9. Le blabla marketing ayant plus d'importance et d'impact que le résultat technique. C'est dommage que leica fasse comme tout le monde, moi qui aime cette marque pour son retrait, son humilité, sa simplicité, et son côté outsider, j'ai été bien déçu. La photographie, ce n'est pas une histoire de pixels mais d'esprit !