Je vois le titre, je me précipite.... et je vois des photos de têtes d'écrivains
Le portrait suppose une complicité (ou tout au moins un échange).
..... Enfin, à mon avis !

Une photo d'Iggy Pop bien piquée et en gros plan serait sans doute plus flatteuse....
Mais moi j'aime bien la seconde.

Hé hé, bien vu !

Bien vu là aussi. Mais la confusion était quand même possible .... non ? Toutefois, la présence du VIOOH pouvait laisser penser qu'il ne s'agissait pas d'un 50 (sur un autoportrait, probablement réalisé au 50, elle utilise le viseur de son Leica III)
Mais il faut dire que j'avais en tête cette interview où Yvette racontait que, alors qu'elle utilisait je ne sais plus quel appareil (probablement un folding), elle avait été séduite par une publicité vantant les possibilités offertes en faible lumière par le nouveau Summarit (ce devait être donc en 49/50) et était entrée dans une boutique pour l'acheter mais sans oser avouer qu'elle ne possédait pas encore de Leica et n'avait actuellement pas les moyens d'acheter boîtier + objectif ! Elle avait donc attendu plusieurs mois avant d'être en mesure d'offrir un boîtier à son Summarit et pouvoir enfin l'essayer.

IIIc ou IIIf (?), VIOOH et, me semble-t-il, Summarit..... et du talent !

Je me souviens bien de ce fil..... mais dans l'internat où j'exercais ils ne faisaient pas 1,90m pour 85Kg : les plus petits étaient en CP/CE1 et les plus vieux en 3ème et je ne m'occupais que de ceux qui étaient en primaire ! (en fait, entre la nuit, le petit déjeuner, le repas du midi, le goûter, le repas du soir, les récréations, l'étude du soir, les activités (et le mercredi c'était toute la journée !), sans compter les remplacements lors d'absence d'un instit, j'étais pris jour et nuit du lundi matin au samedi midi ....mais je n'ai fait cela qu'une année scolaire

Bertrand, cette photo a éveillé chez moi de (déjà) vieux souvenirs. Animateur de centres de loisirs et centres de vacances à la fin des années 70, puis surveillant d'internat, j'ai réalisé des tas de photos dans ce genre. Les jeux et la joie de vivre des enfants en groupe est un merveilleux sujet. A l'époque j'avais un Canon AT1 avec un 35mm et je passais des nuits à faire des tirages 13x18. J'ai donné tous les tirages et les négatifs n'ont pas survécu à mes déménagements
Merci !

J'ai remplacé l'oculaire d'origine par une réplique en plastique (mais j'ai conservé précieusement la pièce d'origine )

Mon SBOOI était déjà équipé, lorsque je l'ai acheté, d'une protection (d'origine, semble-t-il). Mais, comme j'ai déjà eu l'occasion de l'écrire ici, le risque vient des petites griffes recourbées qui, même si le SBOOI est engagé bien à fond, font saillie. Je pourrais fixer une protection sur ces griffes mais, de toutes façons, on profite mieux du SBOOI et du cadre flottant dans l'espace sans lunettes !

A l'époque des vissants, les verres de lunettes étaient minéraux, donc plus épais et plus lourds.... mais résistants aux rayures. Les verres organiques ou polycarbonates c'est fin, léger et résistant aux chocs ..... mais gare aux rayures ! (on ne peut pas tout avoir !)

Possedant un Bessa R et un Leica III, je confirme ce que dit Aulmadin : le Bessa R est bien plus efficace que le Leica, mais le maniement de ce dernier apporte un tel plaisir que, du coup, j'ai l'impression de faire de meilleures photos
Et le Bessa reste maintenant au placard !

Et j'ajoute qu'avec le Bessa je pouvais garder mes lunettes sans risquer de les rayer. Ce n'est pas le cas avec le Leica (même avec un SBOOI), ce qui ne facilite pas les choses (je peux faire la map et viser sans lunettes, mais impossible de régler diaph et vitesse !)
Et pourtant...... j'enlève mes lunettes, je le remets, je les enlève.....
La passion du vissant n'a vraiment rien de rationnel

Même si, avec un télémetrique, la bonne pratique est de faire le point puis de recadrer, le moyen le plus sûr de ne pas être tenté, dans le feu de l'action, de laisser le sujet en plein centre, comme on le voit quand même assez souvent (y compris ici ), reste de séparer complètement ces deux opérations : utilisation d'oeilletons distincts (Leica à vis) ou d'un viseur spécifique.
Pour ma part, c'est ce que j'ai trouvé de mieux (même si je connais la bonne pratique ).....
(Je sais aussi que l'intégration du télémètre dans le viseur est considérée comme un progrès !)

Lorsqu'un journaliste, écrivant sur Leica, cite Capa dans les utilisateurs de Leica (parce qu'il l'a lu déjà lu ailleurs) il laisse à penser au lecteur que Capa est un Leicaiste emblématique (au même titre que Cartier-Bresson ou Rodtchenko, par exemple). Et c'est évidemment inexact, même si l'on peut prouver que, en diverses occasions, Capa a pu utiliser un Leica. C'était, à mon avis, le sens de la remarque de Michelangelo.

L'assassin est toujours le jardinier (pour ceux qui se souviennent des chansons de Frédéric Mey !)

Minuit sonne au château de Darkmoor,
Sir John lit la nécrologie.
On entend les hiboux dans la tour,
Les serviteurs sont de sortie.
Une porte grince et d'un seul bond
Une ombre s'élance sur Sir John,
Et Sir John défunte soudain stupéfait
En emportant son horrible secret :

L'assassin était le jardinier
Qui se réjouit d'un nouveau crime.
L'assassin est toujours le jardinier
Qui néglige lilas, bleuets et myosotis
Pour se trouver une victime.

Deuxième bureau, troisième étage,
Un ascenseur reste coincé.
L'agent secret est à la plage,
A Menton, en congé payé.
Mais en remontant la cage d'ascenseur,
Le mécanicien découvre avec frayeur
L'agent secret gisant dans un coin obscur
Au lieu de bronzer sur la Côte d'Azur.

L'assassin était le jardinier
Qui se réjouit d'un nouveau crime.
L'assassin est toujours le jardinier
Qui néglige lilas, bleuets et myosotis
Pour se trouver une victime.

L'autre soir, le gardien du phare
A été poussé dans le port.
On soupçonne le chef de gare,
Sa femme fréquentait le mort.
D'autre part, la patronne du «Sélect»
Avec ses gros pieds n'est pas moins suspecte,
Ainsi que son gendre qui louche et qui boit
Ou le marin anglais dont le frère est chinois.

L'assassin était le jardinier
Qui se réjouit d'un nouveau crime.
L'assassin est toujours le jardinier
Qui néglige lilas, bleuets et myosotis
Pour se trouver une victime.

L'héritier des biscuits Lemaître
Habite au vingt-deuxième étage.
Il dort sans fermer sa fenêtre,
On verra que c'est bien dommage.
Car un courant d'air vient gonfler les rideaux,
Un canon luisant se braque dans son dos.
La fenêtre est ouverte, mais la porte est fermée
Et les biscuits Lemaître n'ont plus d'héritier.

L'assassin était le jardinier
Qui se réjouit d'un nouveau crime.
L'assassin est toujours le jardinier
Qui néglige lilas, bleuets et myosotis
Pour se trouver une victime.

Un homme à la mine candide,
Vêtu d'un vieux tablier vert,
Prépare des insecticides
Au fond du jardin, dans sa serre.
Ensuite il aiguise en sifflotant
L'énorme sécateur taché de sang.
C'est en greffant ses roses qu'il s'est blessé hier
Et c'est là que l'étrangle une main meurtrière !

L'assassin était le cuisinier,
Et la morale de la ballade :
Il faut se méfier des cuisiniers,
Du beefsteak haché,
Des idées toutes faites,
De la morale et des préjugés.

Superbe, mais la transition net/flou des pavés, sous le journal à gauche, me chiffonne un peu

Un moment j'ai cru que ça venait de moi ..... et puis non, je ne suis pas le seul

Rien à ajouter à l'analyse de Michelangelo !

Ah non ! pas le IIIg .... autant avoir un M3 !

Mais un II modèle D "Couplex" ....ou un If

Il y a aussi le moteur de recherche de flickr.com...... mais avec des photos différentes !
Et puis il faut tenir compte des différences imputables au film, au révélateur, au scan..... bref, pas évident de comparer (qui plus est, sur un écran !)