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Rep : Re: C'est quoi pour vous "savoir photographier avec un M?"

jbo a écrit :

Je suis également bcp plus à l'aise pour faire une MAP précise avec mon vénérable Nikkormat qu'avec un M ou mon IIIg.

Hérétique !

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FJM a écrit :

merci d'avoir alimenté cet échange stérile grâce à vos 40 ans d'expérience....

Qu'en est-il de votre contribution au sujet sinon des affirmations gratuites et non fondées?

Rep : Re: C'est quoi pour vous "savoir photographier avec un M?"

FJM a écrit :

Initié n'est pas un gros mot, vous êtes un homme pressé et je vous en félicite, en définitive votre réaction ne souffre aucune contradiction .

Qui a dit que c'etait une grossiereté ??? Je pensais que pour se servir correctement d'un Leica, il suffisait de lire et de comprendre le mode d'emploi...A vous lire, j'ai dû rater un étape mais vous allez sûrement m'affranchir. J'attends avec impatience, c'est pas tous les jours qu'on apprend quelque chose.

Non, je ne suis pas d'un tempérament pressé mais j'ai pas l'impression qu'une photo me prenne plus ou moins de temps qu'avec un reflex. Mais là encore, vous allez, j'en suis sûr, m'en apprendre.

Enfin, je ne vois pas où se situe la contradiction. J'énonce des vérités d'experience (au bout de 40 ans de photo, on a le temps de revenir de pas mal d'idées reçues). Pas vous ?

Re: Différent filtre rouge et nombre de stop à ajouter

Un filtre IR avec la HP5 ou la Delta 100, je demande à voir... Pour cela, il faut savoir où s'arrete la sensibilité du film et où s'arrete la coupure du filtre... Sans ces courbes, on nage dans l'inconnu. A mon avis et depuis l'arrêt des films vraiment IR style Kodak HIE, il reste grosso modo le choix entre l'Ilford SFX, l'Agfa Aviphot 200 sous différentes appelations commerciales (Rollei IR400 ou Rollei Superpan 200 par exemple) ou l'Adox Scala 50.

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FJM a écrit :

Photographier au M c'est prendre son temps, un système en fait hors d'âge pas le plus pratique mais qui demande une grande concentration sur le sujet et une maitrise indispensable des paramètres, aujourd'hui on a la capacité de faire des photos parfaites en une fraction de seconde mais se rappelle t'on vraiment de ce que l'on a photographié !? je ne parle même pas de l'argentique ou le rituel du tirage multiplie par 10 le plaisir.
C'est comme rouler avec une voiture d'exception avec un moteur que l'on aime entendre, un embrayage trop long un ralenti trop bas et une zone rouge à surveiller, ça ne peut donner du plaisir qu'à un passionné voir un initié ... mais lasser celui qui veut une efficacité qui ne s'inscrit que dans l'instant.
Voila le M est un boitier pour initiés ... addictif à souhait

Pas plus pour les initiés qu'un Nikkormat ou un Zenit E... D'autre part, pourquoi devoir prendre son temps plus qu'avec un queconque boitier ??? Il n'y a pas (encore) de minuteur dans les appareils photo que je sache.

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rolandbaptiste a écrit :

"il faut savoir photographier avec un M?" c'est une remarque que j'ai entendu plusieurs fois. (j'ai toujours trouvé ça un peu se prendre le gros cou)
La question est posée car en visite au Leica store Lille j'ai encore entendu cette remarque!
Cela m'a interpellé sans vraiment avoir de réponse car pour moi le M est une question de l'essentiel en photo... juste la simplicité.
Mais M ou pas M il y a-t-til quelques choses que j'ai raté dans la manière de l'utiliser ou suis-je passé à côté d'un truc particulier?

Je dirais plutot "Il faut savoir photographer" tout court. Que ce soit avec un M ou un reflex, c'est peu ou prou la meme chose mais il faut bien que les pédants qui pullulent dans le monde Leica se distinguent de la masse.

J'utilise un M2 uniquement pour son silence de fonctionnement. Pour le reste, n'importe quel reflex des années 80 est 100 fois plus pratique (chargement du film, visée, automatisme - ou pas -, utilisation sans artifice sur un range de focales illimité, et j'en passe...). Photographier avec un M suppose-t-il un avoir particulier? Non, juste de s'em*erder un peu plus avant de déclancher à moins de l'utiliser comme un vulgaire compact mais alors, a quoi bon un M ?

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fd a écrit :

Le moins cher est un film dont je n'ai jamais entendu parler: Flic Film Ultrapan 400 ($6.50). Quelqu'un ici connait ?

C'est de la Fomapan 400 rebadgée. C'est écrit sur leur site ('This is Re-spooled FOMAPAN Black and white negative film. FOMAPAN is a trademark of FOMA BOHEMIA spol. s.r.o.").

Re: Traînées noires au début du négatif

Fomapan 100? Je ne vois pas d'inscription dans les marges.

Avec les infos fournies, je penche pour une fuite de lumière au niveau des lèvres de la bobine. Certains films, au support plutôt fin, sont problématique pour cette raison.

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Non, il n'y a rien qui vous y oblige. Personnellement, je n'envoie pas en revision tant que je ne constate rien de bizarre. Par contre, garder en tête qu'un problème ne s'arrange que rarement tout seul et a plutôt tendance à s'aggraver avec le temps...

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Clic a écrit :

M argentique 35mm

Tout pareil !

Rep : Re: Développement et canicule

DenisTo a écrit :

gilbert gallego a écrit :

Je viens de développer 2 films avec des bains sous une température de 23 à 24 degrés, impossible de faire moins.
Résultat : deux films parfaitement développer.

Je confirme - j'ai au mois d'Août traité une "HP5+" sans précaution (ni refroidissement de quelque nature que ce soit, ni réduction de la durée de développement) et le résultat est identique à celui que j'obtiens dans un cadre météo moins sud-américain que celui qu'on a connu cet été.

C'est à se demander pourquoi Ilford affiche des abaques temps de développement / température dans sa notice technique...

Re: Développement et canicule

La question n'est pas de s'en tenir aux fameux 20 degrés (qui sont, il faut le noter, la temperature de réference de nombreux fabricants... Ca veut peut-être dire quelque chose, non ?) mais plutôt d'avoir soit-même une réference: 18, 20,22,25 degrés, qu'importe du moment qu'on développe avec toujours la même température touts au long de l'année.

Bien sur, on peut aussi developper au pif mais faut pas dans ce cas venir sur les forums dire que le révélateur XYZ, c'est de la m...e.

Développement et canicule

Il s'agit juste de développer à une température de 20 degrés C (avec des résultats attendus). Si quelqu'un a une autre manière de faire, je suis le premier à l'entendre.

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En ce moment, mon "lab" est à 26 degrés C et l'eau du robinet ne descend pas en dessous de 22 degrés C.

Solution : Je refroidis (au congélateur) le révelo (D76 1+1.5) à 17-18 degrés C (pour compenser la température ambiante de la cuve, de la spire et du film) et développe dans un bain marie à 20 degrés C. Pour obtenir ces 20 degrés C et les maintenir le temps du developpement, c'est eau du robinet + glaçons. Ça parait compliqué à expliquer mais c'est beaucoup plus simple dans la réalité. Le plus important et d'avoir prévu des glaçons en quantité suffisante (6-7 dans mon cas).

Cordialement,

Re: Révélateur compensateur

Diafine.

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