Le réglage vertical est le plus délicat, moi je le ferait faire...
Ton décalage est vraiment marqué (ou juste présent à l'infini et pas en map rapprochée ?)

Le mien est arrivé, 1951, état très correct, juste la rame de map à lubrifier...
Par contre il ne semble pas de verres Zeiss (pas les 6 chiffres sur le fut, mais anotations d'usine à la main 23////119)

Les verres sont très marqués jaunes (fluor ou autre ?), peut être un autre indice de la provenance des lentilles...

Petite question bête :

Existe t-il un moyen simple (par exemple en récupérant un ancien fût arrière du même objectif LMT) d'adapter un Lens "Jupiter-3" 1.5/50mm. Kiev en monture Contax baïonnette en 39 à vis ?

Ps : ou de le transformer définitivement en monture M ?

Merci de vos avis avisés !

Génial : tous ces détails (1949 : croyais que le Jupiter-3 débutais en 50 mouah !)
Et bien je vais voir tout ça au démontage alors...

Merci pour ces détails !

J'ai lu il y a quelques semaines l'article traitant du sujet sur "collection-appareils" : énorme ! (sûrement pas sans lien avec le fait que je m'en cherche un "vieux" )

Je vous dis ça dans quelques temps (l'objet est en transit via sous-marin Russe ou quelque chose comme ça...)

Et béh, faut vraiment le vouloir !

Quelqu'un a t-il une photo de cette monture "véridique" à m'envoyer ici ou en MP ?

Entendu,
KKK sur la bague (celle où on trouve ouverture focale, la bague frontale ?)
La bague des diaph en bronze également, ou est-ce une spécificité de 1951 ?

Et si j'ai tout bien lu ce qui précède, la bague "KKK" peut éventuellement être cachée par une autre superposée...

D'autre part j'ai lu que les jupiter en verre zeiss possédaient un code spécifique attestant de l'origine des verres, accessible par démontage (à l'arrière de l'objectif je crois) : est-ce bien le cas ?

Merci

Il n'y a que 1950 qui en soit ?

Je viens de trouver un jupiter-3 de 1951/bague bronze, mais je pense qu'on ne peut savoir si les verres sont Zeiss qu'au démontage non ?

Hello,

Pas d'Hexar sous la main, mais à défaut j'ai un logiciel de recup de photos effacées.
Si tu veux, tu m'envoies ta carte, je te grave les fichiers restaurés et te renvoie le tout dans la journée...
Si besoin, contacte-moi par MP

De Taon alors : ça fait entre 1/3 et 1/2 diaph, un gros tier quoi (quoi que je préfère un p'tit demi !)

Bon je garde mon Hexanon 50 f2, à pleine ouverture, déjà très bien... (quand même, un bon 1.4, c'est tentant)

Mouais : un tier de diaph quand même... en 36, on en d'mandait pas tant...

Perso, j'aurais bien les deux mouah : un summilux 1.4 et genre un Canon 0.95 tv en monture LMT histoire de me faire une idée...

Summilux 1.4 , en rendu sur capteur numérique, ça le fait, ou pas top ?

Non, les languettes ne vont pas plus loin que l'amorce nécessaire au chargement. Par contre, enrouler le film sur la spire en tirant simplement l'amorce de la bobine puis en tirant de proche en proche (sans décapsulerler la cartouche donc) risque de rayer le film sur toute sa longueur si une poussière s'est déposée après l'extraction entre les feutres des lèvres de la bobine (surtout en cas de photos de plages ou de bobines réutilisables)

Sinon niet, tire amorce = zéro danger

Ps: oui, il est capital d'attendre le "clic" avant d'engager la seconde lamelle... et hop ça marche...

- Chérie, chérie !!!
- ?
-J'ai la languette !!!
-??

J'adore...

en fait comment je fais dans le noir complet :

1/ Je choppe les lèvres là où il y a les petits poils
2/ J'écarte (un peu en force, puis ça vient tout seul...)
3/ Comme ce n'est pas encore assez large, j'écarte les disques aux extrémités (en jurant si nécessaire) de la bobine (même Konica n'y résiste pas) et je me retrouve dans le noir avec le film enroulé autour de son bobineau)
4/ soit j'ai une galère et je mets le tout dans une boite étanche pour faire une pause (à prévoir, ça évite de faire monter pour rien la mayonnaise) mais dans 95% des cas, ça se bobine sans problèmes et hop dans la cuve étanche (et là aussi on peut faire une pause pour vérifier ses abaque de développement, la température des bains, tout ça...)

MAIS : un film terminé de rembobine complètement ! (j'envoie un tire amorce gratos à qui me le demande par MP, dans la limite de mes stocks…

Un film non terminé : On rembobine complètement, ou pas (mais si on maitrise) et on inscrit "nb de vues rest = N (heu n'écrivez pas N hein lol) au feutre permanent (type feutre pour écrire sur les CD)

Heu pour se recaler : on fait le nb de vues déjà faite plus une (de sécurité) plutôt à diaph fermé, temps de pause court, en faible éclairement avec bouchon sur l'objectif...(dans le l'idéal au noir)

Ps : sur la cartouche on peut noter la sensibilité à laquelle le film a été exposé (ex: 800 ISO, histoire d'exposer tout le film à l'identique si on a un petit trou de mémoire : fréquent chez les leïcaistes nan ? Ho ça va je rigole...)

Ps: tordre l'amorce, ça va si on a deux films et qu'on fait tout le jour même (sinon rentrer l'amorce et écrire, sur la cartouche, sur un papier glissé avec la cartouche dans sa boite, sur l'amorce si on l'a extraite, mais ECRIRE)

Ps: bien sûr ce ne sont que des conseils (mais quand on décompresse après une séance de prise de vues prenante, on oublie parfois un essentiel qu'on peut regretter)

Rires... La manip ne fonctionne pas (en tous cas pour moi, mise à jour 2.0 faite), bon, bah je n'ai plus qu'à éplucher les exif quoi...ou attendre une réponse plus explicite...

Ps: bon, j'vais p'têt arrêter de m'écrire ici quand même pfff !!

Oui j’ai fais un petit raccourci… Disons que pour moi il y a similitude (technique pas philosophique) Entre le Hey-Key (Hache KA) et le « expose to the right » : caler les valeurs de hautes lumières aux limites hautes de modulations du capteur (CMOS, film…)

Après le hey-Key comme rendu… c’est pour les artistes nan ?

Mais dans l’absolu je suis pour, l’incrémentation n’en sera que meilleure dans les ombres, et leur forte « resaturation » en post prod plus discrète en bruit. C’est juste le coté systématique de la chose qui me chagrine un peu, les capteurs sont tous différents, le sujet est compliqué (ciel présent donc grande latitude de pose sollicitée, lumière spéculaires présente sur l’histo mais qu’il ne faut pas considérer) donc se servir le l’histogramme nécessairement calé comme d’une cellule…

De ce que je sais, le 5D supporte bien la surex (donc on doit pouvoir dépasser un peu à droite sans perdre trop de nuances dans le ciel, toujours ça de gagné)
Mais je crois que rien ne vaut de se mettre sur pied et de braqueter par tiers de diaph pour définir la correction optimale à apporter ensuite en mode A… moi je ferai ça (c’est plus ma logique, pas une critique…) Plus simple au moment de la prise de vue.

Enfin (je le redis) j’aimerais bien voir un comparatif des mêmes vues réalisées avec un D3 un S15 et le 5D en ce qui concerne la contention du bruit sur fortes saturations.

Et reredite, sensibilité nominale si la lumière est suffisante.