@ Loli
Merci. Je suis entièrement de ton avis en ce qui concerne la critique qui permet à chacun d'élever son niveau. Mais ce n'est pas facile lorsque l'on ne connaît pas la difficulté rencontrée par le photographe. Ah quand c'est parfait, on se dit c'est un magicien : certes, car il fait un boulot de préparation derrière l'écran qui est calculé et travaillé.
Là sans critiquer je constate chez moi que pour obtenir une si belle fleur que la tienne pleine de contraste et bien saturée, il me faut sous-exposer d'un bon 2/3 de diaphragme. Je montrerais un exemplaire s'il est présentable.
Marmotte : D-Lux-4 couplé en digiscopie avec la lunette Leica Apo-televid 82
@ Eog
Sûr que la niverolle en Bretagne ça le fait pas souvent.
Oui il s'agit du mâle. J'ajouterais la femelle plus tard.
Juste une précision pour la circonstance : il s'agit de photos au nid dans des conditions qui ne dérangeaient pas les niverolles. Quand les oiseaux accordent confiance parce que je suis suffisamment loin j'en profite, sinon je me casse. Je sais que Yann n'a rien demandé à ce propos, mais il m'apparaissait important de le signaler pour tout le monde.
Après des démarrages catastrophiques en macro, j'ose enfin en mettre une. Un accouplement d'araignée d'eau (aquarius ?) dans les Alpes du sud :
Formidable tension de l'eau au point de rupture dans les ébats de ces insectes, imprimées sur le fond par l'ombre de l'eau sous l'effet des pattes.
Je sais, c'est pas terrible, mais c'est un pas vers le mieux.