pour avoir fait un test avec une tri X: exposition du même sujet avec iso de 50 à 1600 et un développement standard (400 iso), il n'y a pas de problème avec les images prises entre 50 et 400 iso, déjà un peu moins de détail à 800 et encore moins à 1600.
Pour ma part, en standard, j'exposais (maintenant, je suis numérique) à 250 iso et développement standard 400.
Bonne chance

Le Focomat 2a a deux cames pour une mise au point automatique, une pour chaque objectif. Pour que cela fonctionne il faut avoir les objectifs correspondants. Mais il semblerait que la qualité des optiques de cet agrandisseur ne valent pas les valeurs sûres actuelles (Rodagon, componon S). Il faudrait tester s'il est possible de faire d'ajuster la mise au point manuellement dans le cas de ces objectifs récents que l'on peut acheter maintenant pour une bouchée de pain.

A signaler l'intérêt du M8 pour photographier en infra rouge.

On met un filtre IR (720 ou autre) sur l'objectif. Le viseur reste bien sûr fonctionnel et la sensibilité à l'IR est telle que l'on peut utiliser la cellule pour régler l'appareil. En plein soleil, à 320 iso c'est du 5,6 et 30ème environ.
La mise au point est facile : télémètre puis décalage en utilisant le repère 5,6 de la bague de profondeur de champs au lieu du repère initial.
Utilisation surtout en noir et blanc. Dans certains cas en post traitement on peut obtenir des couleurs surprenantes et bien sûr artificielles.

Bons tests

A priori une mauvaise idée. Il est fort probable qu'il y ait précipitations de différents composants qui ne re-solubiliseront pas pendant le réchaufement. Si très peu d'argentique, voir du côté du HC 110 de Kodak qui est un concentré qui se conserve (indéfiniment?) et qu'on dilue avant l'usage et que l'on utilise à bain perdu.

Oui mais la déchetterie, elle en fait quoi ?



A priori, si on ne veut pas mettre à l'égout, il faut employer les services d'une société spécialisée dans le traitement des produits chimiques. Pour le fixateur, il suffirait en fait de récupérer l'argent. Pour le reste, thiosulfite d'ammonium, c'est un bon désherbant, qui en se décomposant fournit de l'azote aux plantes !

"la mort subite du révélateur" est connue avec le kodak Xtol (à base de vitamine C), d'autant plus subite que l'absence de révélation peut s'appliquer à un type de pellicule et pas à un autre (TriX versus Tmax100). C'est au moins l'expérience que j'en ai eue.

Le margeur original pour le Ic, en bois, qui se fixe sur le plateau avec un système de queue d'aronde a une épaisseur de 25+mm, c'est à dire un pouce.

Il n'y a pas de patins en caoutchouc mais seulement deux bandes légèrement surélevées (dans l'épaisseur du bois) pour le contact avec le plateau. Donc, n'importe quel margeur d'une épaisseur d'un pouce devrait faire l'affaire. Sinon, on peut compenser en rajoutant l'épaisseur nécessaire.

A priori le format dng (les raw de leica) est le format "standard" de Adobe, donc reconnu par toutes les versions de PS,LR...

Il n'est pas spécifique d'une version de M, contrairement aux fichiers propriétaires des Nikon, canon...

Et on trouve un logiciel adobe pour transformer les fichiers raw propriétaires en dng pour les traiter dans les logiciels adobe. (valable donc pour toutes les marques qui ne fournissent pas des fichiers Raw au format DNG).

Voir la présentation faite par Adobe de son "Adobe DNG converter" :

https://helpx.adobe.com/fr/photoshop/us ... erter.html

Bonne lecture et bon développement!

C'est dit dans le mode d'emploi de l'agrandisseur. Mon expérience, c'est qu'il fallait plus ou moins 4 fois plus de temps d'expo pour le même tirage que la lampe d'origine. PEut-être une question d'angle du cone de lumière de la lampe. Et il faut limer le petit ergot qui est sur le bord.

IL existe théoriquement plusieurs formats de papier, mais je doute qu'ils soient faciles à trouver. Donc on est limité au 10x15. Si on veut un autre format, il faudra cisailler.

Et je ne vois pas trop quel autre format utiliser à part le jpeg.

Et l'impression directe, sans passer par l'ordi, sans ajustement, n'est pas forcément au top, du point de vue de l'exposition, surtout si on n'utilise pas un appareil Canon.

IL faut d'abord identifier le type de votre agrandisseur. S'agit il de la version 1 ou de la version 2. La version 2 a un adaptateur pour les nouvelles lampes. La première version accepte seulement les lampes 6604 (a priori introuvables), à moins de lui adjoindre l'adaptateur (autour de 100 dollars sur ebay!?!)

les infos se trouvent sur le site: http://www.bonavolta.ch/hobby/fr/photo/v35.htm

Et quelques fils de discussion sur summilux au sujet des lampes.


Bonne chance

Au vu de l'image montrée, c'est au moins 4 fois plus de lumière qu'il faudrait à la photo.

L'exposition sous l'agrandisseur fonctionne comme pour un appareil photo, avec des échelles de temps qui sont plutôt des échelles de type multiplicatif. C'est dire, si c'est trop clair, ce ne sont pas quelques secondes de plus qu'il faut rajouter. mais le double ou le quadruple (c'est aussi vrai lors des masquages, du ciel par exemple). Si c'est encore trop clair, on double encore. Et 15 secondes de plus n'a pas la même valeur si c'est 15 en plus de 15 (=le double) ou 15 en plus de 60s (1/4 en plus).

Une démarche simple, qu'on peut faire avec des bandes, c'est :

on trouve une exposition où la photo apparaît trop claire (ou trop foncée) on augmente (ou diminue) le temps (4 fois par exemple) pour obtenir une photo qui apparaitra trop foncé (ou trop claire). On sait alors que la bonne exposition est entre les deux précédentes. A partir de là on peut fignoler et commencer à penser aux masquages. On peut dire que c'est une variante de l'approche "recherche du premier noir"

Une autre suggestion:

pour débuter, il ne faut pas avoir trop de paramètres à gérer (et l'âge du papier et du révélateur en font partie). Donc on commence avec une boite de papier neuve (même en 10x15) et un révélateur et fixateur neuf. Les papiers anciens seront à tester ensuite en comparaison avec le papier neuf.

Bonne chance

Sur le prochain film, vous pouvez essayer de prendre la même photo, en l'exposant à 50, 100, 400, 800 iso. Le développement est à faire avec les durées indiquées pour 400 iso. Vous devriez constater que les photos sont toutes exploitables mais qu'à 800 iso on a perdu beaucoup de détails dans les ombres et que à 50 ou 100 iso les zones claires de la photo apparaissent très sombres sur le négatif. Pas vraiment de problème pour un tirage à l'agrandisseur, par contre au scanner, c'est peut être un peu plus compliqué de récupérer les détails dans ces zones négatives très sombres.En tout cas, le conseil d'exposer à la valeur de 200 iso et de développer pour 400 est pour moi un bon conseil

et pourquoi ne pas utiliser un auxiliaire de lavage entre le fixateur et le lavage. Gain de temps et d'efficacité.

C'est du tout bon