Chers amis,
Comme beaucoup d'entre vous, après la disparition des Fuji Velvia 50, j'ai basculé vers les Velvia 100. En prise de vues, ils semblent très sensibles à la sous-exposition en fortes lumières, mais globalement, je les trouve excellents.
J'ai été effrayé lors de mes premiers retours de labo: sur une table lumineuse CABIN, ces films présentent une dominante magenta très nette ( ce qui n'est pas le cas avec les velvia 50). En projection, cette dominante disparait...
Avez-vous une explication ou connu une expérience similaire?
Amitiés à tous les Leicaistes

Chers amis,
Je vous prie de bien vouloir excuser mon ignorance en matière de photographie digitale.
A court terme, je souhaiterais renouveler mon mathos, une question cependant me préoccupe.
L'essentiel de mes tirages photographiques argentiques (depuis plus de 30 ans) se font en 24x30 ou 30x40 cm, à ma plus grande satisfaction.
Le M8 peut-il garantir la même qualité de piqué et de définition dans ces formats?
Merci et amicalement
Michel

Chers amis,
Veuillez m'excuser de la naïveté de ma question, je ne connais rien en photographie digitale, je ne suis qu'un utilisateur d'argentique depuis 40 ans.
Toutefois, ce débat très intéressant sur le format des capteurs m'interpelle... Mis à part ce format, une question pratique se pose, combien de méga pix faut-il pour que le résultat (image imprimée et dia) soit équivalent celui obtenu par film argentique?
Si vous me donnez pour réponse 10mpix, pourquoi s'inquiéter du fait de savoir si le capteur est ff ou non? Au delà des performances théoriques et du nombre de pixels ou du format des capteurs, ne pensez-vous pas que passée cette limite, on dépasse les performances techniques des optiques?
En parallèle à cette question, quelles doivent être les performances d'un scanner 24x36 pour tirer d'une pellicule argentique la totalité des informations enrégistrées et, par la suite, obtenir un résultat imprimé équivalent à une impression argentique?
Merci pour votre intérêt
Michel

Chers amis,
Une question technique doit nous interpeller. Si examine les performances optiques des objectifs Leica, et si on les exprime (pour simplifier) en lignes par mm, les meilleures optiques atteignent 150lpmm. Des pellicules à haute définition permettent, en fonction des méthodes de calcul et dans les meilleures conditions, de restituer environ 80lpmm sur pellicule.
Si on examine les caractéristiques des capteurs digitaux, le nombre de pixels au mm² étant techniquement limité, on reste largement en dessous des possibilités de restitution de ces objectifs; dans ce cas il faut comparer avec les performances des objectifs et non du résultat sur pellicule. Les meilleurs capteurs actuels ne permettent pas de dépasser 20lpmm (au delà, malgré la pub, divers problèmes de captage se posent et ne seront pas résolus: les photons étant ce qu'ils sont, ils ne peuvent être réduits en taille et un minimum de photons doivent être concentrés sur chaque capteur!), ces 20lpmm comptés avant correction (interpolation) informatique (et ceci n'est plus de la photo mais de l'improvisation).
Ceci revient à dire que les performances des objectifs est secondaire par rapport au nombre de pixels disponibles. Dès lors, à quoi bon acheter des optiques de très haute qualité puisque le principe-même du digital a tendance à niveler (vers le bas) leurs performances.
Bonne torture intellectuelle...
Amitiés

Chers amis,
Toutes les projections relatives au futur M digital font référence à des caractéristiques techniques plus ou moins alléchantes... Leica ne semble en avoir confirmé aucune!
Mais il n'en reste pas moins que très souvent il est question d'un capteur de 10MP, un facteur de correction de 1.33... et de caractéristiques "upgradable". Ce serait donc un boîtier dont les caractéristiques (dont, je suppose, les performances du capteur) seraient évolutives, adaptables aux progrès techniques.
Cela me semble peu réaliste, le remplacement d'un capteur par un autre de performances supérieures demande des adaptations techniques importantes.
Si Leica a relevé ce challenge, il ne nous reste qu'à nous incliner et, une première dans :?: l'ère digitale, l'achat d'un matos Leica MD sera à nouveau un investissement à long terme.
J'aimerais connaître votre avis.
Amitiés de Belgique
Michel

Chers amis leicaistes,
J'ai l'occasion d'acheter un stock de films dia VELVIA 50 frais (date limite janvier 2007). Leur conservation au surgélateur (-20°) peut-elle me garantir une préservation totale de leur qualité et de leur sensibilité à moyen terme (3 - 4 ans)?
Merci pour vos conseils.
Amicalement
Michel

Chers amis,
merci pour vos conseils. Le seul problème qui me préoccupe est le maintien précis de la température (+ ou - 0.3°c). Il y a une vingtaine d'années j'ai imprimé mes dias par procédé cibachrome (et oui, je ne suis plus de première jeunesse, j'ai 55 ans et 40ans de photos dans tous les pays du monde, boulot et voyages fréquents à l'étranger me l'ont permis). J'avais bricolé un dispositif de maintien de température avec une résistance chauffante thermostatique pour aquarium, résultats très satisfaisants mais je n'ai jamais atteint une telle précision... Quelle est la tolérance maximale, comment la mesurez-vous, compte tenu de la variation de t° à différents endroits de la cuve?
Merci à tous
Michel

Chers amis,
Je crains que, dans un proche avenir, le labo pro que je charge depuis des années de mes développements de dias ne cesse ses activités. La qualité des résultats obtenus par les développements traditionnels (les seuls encore disponibles chez les détaillants photo) ne me satisfait guère.
Je suis donc amené à m'interroger sur la possibilité de procéder moi-même au développement E6. Certains d'entre vous ont-ils été tentés par cette voie, quelle est votre expérience, les conseils sont bienvenus?
Merci et amitiés de Belgique
Michel

Chers amis,
vous avez mille fois raison. Pourquoi ne pas utiliser cet appareil? Il me reste cependant un problème à résoudre, comme je vous l'ai dit, les objectifs sont poussièreux... à l'intérieur du système optique. Je pense qu'un démontage compétent et un simple nettoyage devrait suffire. Aucune trace de moisissure ou d'oxydation n'affecte les surfaces des lentilles. Cette semaine, je consulterai un spécialiste Leica à Bruxelles (FOCUS pour les amis du coin) réputé en la matière.
Merci encore pour votre gentillesse.
Amitiés de Belgique
Michel

Chers amis leicaistes,
Tâche pénible s'il en est, suite au décès de mon père, passionné de photographie, j'ai été amené à vider maison, armoires et tiroirs. J'ai retrouvé son appareil photo préféré et trois optiques.
Il s'agit d'un Leica télémétrique n°988xx lacqué noir, je pense du type IID, et trois objectifs (35mm, 50mm et 135mm) le tout datant des années 1930 à 1935. Ce matériel est dans un état quasi neuf, il semble fonctionner à la perfection, seul les optiques me semblent légèrement poussiéreuses, un petit nettoyage s'impose.
Vous imaginez mon attachement sentimental à ce matériel. J'ai l'intention de créer une petite vitrine ou il serait mis en valeur.
Ma question:
mon père devait inévitablement disposer d'accessoires tels que cadre de visée (pour 35 et 135mm), une cellule de mesure de lumière et d'aures indispensables... Pouvez-vous me donner quelques informations sur les accessoires Leica utilisés dans les années 1930 et leur type ou références de manière à compléter cette vitrine?
Pourvu que le virus du collectionneur ne m'atteigne pas...
Merci d'avance et un grand bonjour de Belgique
Michel

Chers amis Leicaistes,
Si vous le permettez d'un nouveau membre, je peux apporter une petite précision quant au mode de lecture par la cellule de la luminosité sur la pastille blanche imprimée sur le rideau.
Voyez la position de la cellule par rapport à la pastille, elle mesure avec un angle très petit (proche de la tangente) et est davantage influencée par l'éclairement de la partie la plus proche de la cellule (c'est à dire supérieure de la pastille) qui correspond à la partie inférieure de l'image. Entre une mesure d'un spot lumineux réglé sur la partie haute et basse de la pastille blanche, on compte environ 1/4 à 1/3 de diaphragme de différence (mesure au M7, moins ou pas sensible au M6), test effectué au banc optique. Pour une tenue classique horizontale de l'appareil, ce "défaut de centrage" peut compenser l'irrégularité d'un éclairage traditionnel venant principalement du haut et plus intense dans sa partie supérieure.
Ceci explique les (légères) différences de mesure de lumière entre des positions horizontale et verticale de l'appareil.
Amitiés de Belgique
Michel