cedric-paris a écrit :
La question n'est pas dénuée d'intérêt. En effet, déjà en 1957, le photographe Léon Provost remarquait de petites taches d'oxydation sur son rideau. Or, il était atteint d'un mal capillaire très courant attaquant le cuir chevelu: il avait des pellicules. A chaque changement d'objectif, quelques pellicules entraient dans son boîtier, et avec elles, parfois un pou, couché sur pellicule. Les poux, une fois à l'intérieur, grimpaient aux rideaux. Il les trouvaient fort goûtus et très bons (cf le sujet
"pourquoi les M sont bons?") endommageant ainsi l'étanchéité à la lumière.
De fait, Leica préconisait de se raser les cheveux pour bien pratiquer, et ce, dès les années 20.

Le conseil était inscrit sur une petite plaque dans la semelle des vissants: "
Achtung, Schneiden die Haare in vier", et fut suivi par les plus grands, de Umbo à Sebastiao Salgado:


Excellent !!!