L'hurluber.lu a écrit :
Merci
Rax.
Le stage a duré 6 jours. Les 5 premiers jours, il s'est tenu dans une salle communale dédiée à l'escrime (!). Le soir du 6ème jour une restitution du stage a été proposé au public dans une "remise" dotée d'un jardinet.
Chaque stagiaire devait mêler danse et musique. Musique produite par un objet détourné de son usage initial (les petites cuillères et gobelets,
la bâche en plastique... )
Tako-Tsubo correspond à l'histoire que je raconte. Qui m'est très personnelle mais qui a un lien avec mon rapport à la danse.
Je crains qu'effectivement le rapport à la danse ne soit immédiat. L'accumulation des images permettra peut-être d'éclaircir ce point. Mais mon but n'est pas documentaire. Je crois qu'avant tout et de manière très nombriliste cela me permet de parler de moi !
Superbe série encore une fois, L’hurluber.lu. j’aime beaucoup la cohérence entre les images et le texte. On sent à la fois la retenue et la tension, un peu comme si la lumière elle-même hésitait à se poser. La référence au Tako-Tsubo prend une dimension encore plus intime après tes explications.
J’ai eu une expérience assez proche pendant un atelier de danse contemporaine (rien d’aussi intense que ton stage cela dit). On travaillait sur les sons produits par des objets non musicaux aussi, je me souviens encore d’une bâche qu’on faisait claquer pour évoquer la respiration, c’était presque hypnotique. Comme quoi, un matériau tout simple peut devenir vecteur d’émotion quand il est bien intégré à la mise en scène ou à la photo.
En tout cas, merci de partager ton travail ici, c’est inspirant.