Lors de la revente de mon M6TTL il y a quelques mois, la cellule ne fonctionnait plus. Le problème venait du cache-pile. Le Leica Store Beaumarchais m'en a fourni un neuf, pour un prix que j'ai oublié (mais l'essentiel est que la qualité reste), et la cellule a ressuscité ipso facto.

C'est ton destin.

On n'est pas à Redon et on en est même assez loin; mais le courant architectural est bien celui du milieu du XIXème où l'on s'acharnait à faire du néo partout : néo antique, néo byzantin, néo roman, néo gothique, etc. J'ai toujours été surpris en passant à Sainte-Clotilde à Paris ou aux Réformés à Marseille de ce total manque d'imagination...
Sur la photo proposée, le choix du style néo-antique est d'autant plus surprenant qu'il détonne par rapport à l'harmonie architecturale du reste de la bourgade.

Le Mans est à la rillette ce que Chatillon sur Seine est à l'andouillette. C'était donc plutôt simple.

Peut-être Le Mans et Chatillon sur Seine?

Chandigarh, c'est plutôt Le Corbusier.

Bravo à Stefaren, c'est effectivement le pont de Pamban.

Il a été mis en service en 1914 et permettait aux voyageurs d'aller en train jusqu'à un port leur permettant d'embarquer vers le Sri Lanka. Ce train permettait aussi de rejoindre, à quelque kilomètres du pont, la ville de Rameshwaram qui est l'un des sites les plus sacrés de l'hindouisme vishnouite et qui fait donc l'objet d'incessants pèlerinages.
L'Inde et le Sri Lanka sont séparées par un chapelet d'iles sablonneuses appelé "Adam's Bridge" ou Rama Setu (Pont de Rama), ou encore Hanuman's Bridge. Selon le Ramayana, Rama, l'un des avatars de Vishnu, était à la recherche de son épouse Sita qui avait été enlevée par un démon qui vivait sur l'ile de Sri Lanka. Pour se rendre sur cette ile, Rama, assisté de son allié le général de l'armée des singes Hanuman, créa ce lien entre le subcontinent Indien et le Sri Lanka, lequel a permis jusqu'à un cyclone relativement récent, de se rendre au Sri Lanka de pied sec. Depuis, suite à ce violent cyclone, il ne reste plus qu'un chapelet de bancs de sable.

L'ouvrage, bien que faisant l'objet d'un entretien permanent, est terriblement rouillé; le trafic ferroviaire a été interrompu il y a plusieurs années et à ma connaissance il n'a pas repris à ce jour.

Le pont de Pamban a été doublé d'un pont routier (d'où est prise la photo); et un nouveau pont est en construction, en béton celui-ci, on en voit les piles à l'arrière plan.

Récemment, en 2024, un projet visant à créer un pont d'une vingtaine de kilomètres jusqu'au Sri Lanka a été mis à l'étude, les deux pays semblant s'être mis d'accord pour cela.

Non, ce n'est pas le bon continent.

110 ans et toutes ses dents. Du moins celles de ses engrenages, puisqu'il se lève encore. Par contre, sa structure est rouillée jusqu'à l'os...

Un pont trop loin... et trop vieux.

Peut être Evora, Chapelle des Os?
"Nos ossos que aqui estamos pelos vossos esperamos".
Nous, les os ici présents, attendons que les vôtres nous rejoignent.

La plupart des automatismes ont leurs limites et l'automatisme de l'exposition des appareils photos le démontre très souvent lorsque l'on sort du domaine de photos relativement "standards". L'appareil est conçu pour produire un résultat moyen et n'est pas en mesure de comprendre les véritables intentions du photographe, c'est à ce dernier de rester maitre de la machine. Quand on cherche à restituer la pénombre à l'intérieur d'une église ou l'obscurité d'une rue faiblement éclairée, il faudra toujours batailler avec l'automatisme qui, lui, cherchera à restituer une luminosité moyenne de plein jour. C'est d'ailleurs bien pour cela que la plupart des boitiers automatiques présentent une molette de compensation d'exposition, soit dédiée, soit programmable et facilement accessible.

Et au fond, c'est très bien comme ça : c'est au photographe d'avoir le dernier mot, pas au boitier!

Bonjour,

Cela me parait tout à fait normal : face à un sujet clair, et de surcroit renvoyant la lumière car il s'agit de surfaces brillantes, le posemètre est naturellement leurré et va avoir tendance à sous exposer l'ensemble. C'est un peu le même problème qui apparait lorsque l'on photographie un sujet sur un fond de neige au soleil par exemple. Il faut aider l'appareil en compensant l'exposition manuellement. Pour les cas présentés, il me semble que + 1IL devrait suffire. A noter que la correction peut aussi se faire en post production sans difficulté.
La balance des blancs peut rester en auto, ce n'est pas le sujet ici.