Merci pour le lien!
Il y a plein de photos superbes sur ce site.

Ok, pour celui-là: les lunettes ne servent qu'à la mise au point rapprochée, on peut donc l'utiliser sans.

Dans ce post, vers le haut de la première page, quelqu'un se plaint de l'impossibilité de faire la mise au point sans lunettes. En bas, de la page, on lui dit de ne pas les enlever, que ça empêche le bon fonctionnement du télémètre.

http://www.rangefinderforum.com/forums/showthread.php?t=46408

On en parle ici aussi (post de Rob F):

http://www.rangefinderforum.com/forums/showthread.php?t=48385

Ici, Gérard Métrot confirme en bas de première page et haut de 2e que le couplage entre télémètre et objectif n'est pas correct si on enlève les lunettes:

http://www.summilux.net/forums/viewtopic.php?t=3424

Je me souviens avoir lu un post sur RFF où un gars ne comprenait pas pourquoi il n'arrivait pas à faire une mise au point correcte depuis qu'il avait enlevé les lunettes. Sur RFF, j'ai lu pas mal de discussions qui allaient dans ce sens. Même ici, je crois que le sujet a été abordé.
Je vais essayé de retrouver ça...

edit: correction d'une faute d'orthographe

Les lunettes ne font pas que réduire la magnification du viseur, elles sont indispensables pour la mise au point.
Ils ne faut donc en aucun cas les enlever. Il y a une histoire de course de la came de mise au point ou un truc comme ça qui fait qu'une mise au point effectuée sans les lunettes sera décalée.

Je ne trouve pas que 35 et 50 soient trop proches, mais c'est vraiement une histoire de goût, donc cela va être dur de te conseiller là-dessus.
Sur le lien suivant, tu verras la différence entre toutes ces focales:
http://www.rangefinderforum.com/forums/showthread.php?t=49300


Par contre, les lunettes du Summaron pour M3 sont indispensables pour faire la mise au point, il faudra donc les laisser à poste sur le M3 et le M6.

La série "The prettiest girl" m'a mis une grosse claque. C'est traité sans voyeurisme, le photographe fait comme les parents, il agit comme si il photographiait n'importe quelle autre petite fille.
Les série sur l'Irak sont bien aussi, surtout "Casualty care".

Merci pour le lien.

Félicitations!
Ces deux séries sont déjà très belles sur un écran, j'imagine que les tirages doivent être fabuleux.

De toutes façons, tout le monde ici sait que si les prix des Rondinax s'envolent, c'est la faute à Jean D. qui en a fait une fantastique publicité !

Plus sérieusement, je trouve cette cuve vraiment fantastique quand, comme moi, on ne fait que du 24*36 qu'on développe peu de films à la fois. Charger le film en plein jour est un vrai plus, surtout si on ne dispose pas de pièce "aveugle" où faire le noir complet (enrouler le film sur sa spire dans un manchon ou sous une couette, je trouve ça peu pratique).
Le principe de la rotation continue est certes un peu fastidieux mais, à l'usage, je me rends compte qu'il est plus facile de rester concentré en faisant un quart de tour toutes les 5 secondes que des retournements toutes les 30 secondes (bon, cette apréciation reste très subjective et certains doivent préférer l'inverse).

Une fois, je me suis retrouvé à devoir développer cinq films d'un coup, et c'est vrai que là, j'ai un peu regetté qu'il n'existe pas de Rondinax à deux spires...

Bon, je ne saurais sans doute ce qu'étaut cette trace, mais j'ai fini par m'en débarasser!
J'ai une nouvelle fois enroulé le film dans la spire de la Rondinax, en en profitant pour passer un chiffon doux imbibé d'alcool sur le support. Ensuite, j'ai longuement lavé le film et à la fin, il n'y avait plus trace. Ouf!

Pareil entre le vinyl et le CD, il suffit de faire la comparaison entre la version CD et vinyle d'un album (en neuf tant qu'à faire, vu que les petits labels indés sortent pas mal de LP) pour s'en rendre compte. Il y a un naturel et une présence dans le vinyl que je ne retrouve pas sur le CD.

J'ai développé un film hier selon ma méthode habituelle (c'est un bien grand mot, vu que ça doit être seulement le 10e film que je développe):
-prémouillage
-13mn30 dans du D76 1+1
-Pas de bain d'arrêt
-5 mn dans du Rapid Fixer
-15 bains de lavage de 1 mn (eau du robinet)
-1 dernier bain avec de l'agent mouillant.

D'habitude, je prépare l'agent mouillant avec de l'eau déminéralisée, mais hier, j'arrivais à la fin de la bouteille, j'ai donc fait un mix 50/50 d'eau déminéralisée et d'eau du robinet...

Séchage dans la cabine de douche après avoir fait couler de l'eau très chaude pour éviter les poussières.

En voulant découper le négatif, j'ai remarqué une longue traces surtoutes la longueur du film (un trait à peu près au centre), côté brillant (pas sur la gélatine). En passant un doigt mouillé sur la trace (sur une vue non exposée, bien sûr), elle s'estompe, mais en laissant des traces...

J'ai donc remis le film dans la spire de la Rondinax pour le repasser dans un bain d'agent mouillant (que de l'eau du robinet, vu que du coup, la bouteille d'eau déminéralisée était vide). Ce matin, la trace est encore là


(ce n'est pas du Leica, mais vu que c'est à des fins documentaires, j'espère que ça ira)

Quelqu'un aurait une idée de ce qu'est cette trace et comment m'en débarasser?
J'avais pensé à passer un tampon d'alcool sur le support tout en bobinant le film avant de faire un lavage complêt, mais peut-être est-ce trop radical...

Merci d'avance.

Pas de pop-up chez moi non plus (et Firefox ne m'annonce pas qu'il en a bloqué)...

Des mains de pilote d'hélicoptère.






M6 Cron 50 APX100

C'est pas mal, cette petite réglette! Plus pratique que le tableau que je m'étais fait sur Excel quand j'utilisais mon Zorki.

Malheureusement, pour moi, le plus dur avec la règle du f/16 restera à évaluer la lumière à l'oeil....

De l'avantage d'être moins dépendant des batteries! 8)

Ceci, même avec un un Leica, on est pas à l'abri de la panne: le week-end dernier, les piles de mon M6 m'ont laché lors d'une balade dans Quimper. Du coup, j'ai terminé au pif avec la règle du f/16....